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La formation au cœur des évolutions du pôle agricole d’Euralis

Les 55 conseillers d'exploitation du groupe coopératif Euralis ont reçu le 23 mars un certificat délivré à l'issue d'un parcours dédié à l'agroécologie.

Après avoir fait le choix du conseil, Euralis a formé en priorité ses conseillers d’exploitation du pôle agricole, qui viennent de finir un parcours agroécologie. Désormais, il s’agit d’élargir ces formations et de les internaliser.

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Les 55 conseillers d’exploitation du groupe coopératif Euralis ont reçu, le 23 mars, un certificat délivré à l’issue d’un parcours sur les techniques d’agroécologie. Parcours qui s’inscrit dans un vaste plan de formation lancé en 2021, à la suite du choix du conseil. Avec plus de 30 000 heures de formation dispensées depuis, « nous avons triplé notre budget en la matière », souligne Laurent Dubain, directeur général du pôle agricole d’Euralis.

L’objectif est maintenant d’élargir ces formations sur l’agroécologie aux services supports (marketing et développement commercial) pour « mieux travailler la construction de filières durables avec le client aval et travailler sur les ENR », indique Laurent Teysseyre, le DRH du pôle agricole.

« Ça rejaillit sur notre marque employeur »

Les équipes des silos et séchoirs sont aussi concernées, puisqu’un certificat de qualification professionnelle est en cours sur les métiers du grain. Laurent Dubain développe : « Mettre en place un cahier des charges avec l’aval, cela a des conséquences agronomiques, et donc pour nos conseillers d’exploitation, mais cela se prolonge aussi dans les conditions de stockage, de séchage, d’allotement… »

Autre enjeu pour la coopérative : internaliser ces formations. « Nous voulons avoir la même force de formation, mais diminuer les coûts », explique Laurent Teysseyre tout en faisant remarquer que « mettre en place des filières durables, parler d’agroécologie, ça plaît. Et ça rejaillit sur notre marque employeur. » Ainsi, les 55 postes de conseillers d’exploitation sont pourvus, « et on constitue même un vivier en interne en cas de turn-over », se félicite Laurent Dubain.

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